Une réunion s’est tenue mardi entre les responsables du ministère du Transport et les armateurs au sujet de l’étude Drawry et de la réforme du code maritime. Il s’agit d’élaborer un nouveau texte qui remplace celui de 1929. En gros, c’est un code qui sera copié sur le code français de 1966. Les armateurs qui ont l’étude entre les mains rejettent d’ores et déjà l’option d’une libéralisation partielle. Rappelons que depuis 1984, les autorités concernées tentent de faire aboutir cette réforme. En vain.
Difficile de comprendre qu’un pays qui a deux façades maritimes puisse vivre sans un code maritime moderne et complet surtout que la profession des armateurs en a vraiment besoin pour mettre de l’ordre dans un secteur qui gagnerait énormément à être organisé et visible.