Chroniques

Le mot pour rire : Unis pour le meilleur et pour le prix

© D.R

Il y a un ministre dans l’actuel gouvernement – qui, lui, a gardé son portefeuille intact –  qui m’a toujours ému à la fois par sa spontanéité presque enfantine et par sa naïveté parfois assez coquine.

Ce ministre n’est autre que M. Lahcen Daoudi qui a la lourde charge de notre enseignement pas si supérieur que ça. Si je vous parle de lui aujourd’hui, c’est parce que lors du débat sur le budget de son département au Parlement, il s’est vraiment lâché et en a profité pour lâcher des perles d’un niveau anthologique.

Je ne vais pas pouvoir vous les citer toutes, mais je vais me contenter d’une seule que je vous livre telle quelle : « La problématique de l’enseignement supérieur au Maroc est née après que ce secteur a été scindé en deux : celui du public et celui du privé» !

Et notre ministre boute-en-train de proposer, sans rire, tout bonnement, de les réunir. Et c’est ainsi, bien sûr, que tous les problèmes seront définitivement réglés. Mais, il y a une chose qu’il n’a pas précisée : qui va payer pour qui ?

A demain

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