Certains organes de presse avaient publié une information selon laquelle ledit vol aurait été annulé à cause de soupçons de présence d’explosifs et reporté à une heure tardive pour s’effectuer à bord d’un appareil de remplacement.
"En guise de démenti, la Direction Générale de la Sûreté Nationale, tout en confirmant le retard accusé par ledit vol, tient à préciser que ce retard est dû à une panne technique", précise la même source.
"Le débarquement des passagers a été décidé, non pas pour des raisons sécuritaires, mais pour des raisons de commodité liées au temps considérable que devaient prendre les réparations et qui ont duré quatre heures", poursuit la DGSN.
"Au moment de ces réparations, aucun bagage à main n’a fait l’objet d’un ciblage ou d’un contrôle particulier. Les formalités d’inspection, se sont déroulées, comme à l’accoutumée, avant l’embarquement dans des conditions normales et sans aucune autre mesure exceptionnelle de vigilance", ajoute le communiqué, précisant que "les passagers ont été repris à bord sur le même appareil qui a décollé le même jour à 11h du matin à destination de Milan".
Dans le domaine de l’aéronautique, rappelle la même source, ce genre de retards est assez fréquent et occupe une grande partie de l’activité des escales et de leurs départements techniques.