Il discute actuellement du rapprochement de ses PC avec ceux de Fujitsu et la firme Vaio (créée à partir de la division d’ordinateurs éponymes de Sony) et de ses produits d’électroménager avec ceux de Sharp comme le souligne l’AFP.
Au total, la cession d’activités risque d’entraîner une chute des revenus de plus de 1.000 milliards de yens (7,5 milliards d’euros) par an et le chiffre d’affaires de Toshiba pourrait tomber en 2016-2017 à moins de 5.000 milliards de yens (38 milliards d’euros), un niveau sous lequel il n’est pas passé depuis le milieu des années 1990.