La même source indique que les dernières exécutions des peines capitales remontent au mois d’octobre 1993, date à laquelle 13 personnes ont été passées aux armes, pour leur implication dans l’attentat de l’aéroport d’Alger, qui avait fait plusieurs morts et blessés et des dégâts matériels considérables.
L’exécution des condamnés à mort n’intervient qu’après épuisement de tous les recours, y compris le recours en grâce auprès du chef de l’Etat, ajoute la même source, qui indique que le ministre de la justice, Tayeb Belaiz, avait affirmé en 2004 à Constantine, qu’une proposition était à l’étude sur l’abolition de la peine capitale.