Nous savons quels sont les réels enjeux de ce tapage médiatique comme nous n’ignorons point qu’il y a des individus malintentionnés qui commanditent tous les articles de presse et autres pour nuire à l’image du Maroc, à ses institutions…
Parmi ces individus, certains sont connus par leurs critiques maladives, infécondes et sans intérêt, des individus qui se plaisent dans la médiocrité intellectuelle, des individus imbus de leur personne, aveuglés qu’ils sont par un égoïsme pathologique car il est sans limites. Ces individus, qui se plaisent à croire qu’ils sont les seuls à détenir la vérité, pondent dans la douleur des informations qu’ils assimilent à des articles. Cette presse-là, qui se dit indépendante, a une ligne de conduite qui ne l’est pas, puisqu’elle est aux ordres de groupuscules connus pour leur haine viscérale à l’adresse de valeurs qui sont les nôtres, c’est à dire à notre marocanité, à notre identité, à nos institutions…
Ces individus se croient tout permis, ils n’hésitent pas à exploiter la démocratie, la liberté d’expression à des fins personnelles signant de leur plume les mêmes écrits, le même contenu, les mêmes phrases (Makhzen, Palais , monarchie…). Un chroniqueur parlant de l’affaire Ben Barka n’hésite pas à écrire : «l’affaire Ben Barka resurgit, mettant le Royaume en mauvaise posture et le Roi en situation délicate». Ce monsieur ne porte pas le Maroc dans son cœur. Ce n’est un secret pour personne. En tant que Marocain aimant mon pays, prêt pour cela à donner ma vie s’il le faut et en tant que monarchiste aimant mon Roi, je ne puis permettre à quiconque de porter atteinte à ses valeurs sacrées et encore moins à un type qui se nourrit du pain des Marocains et qui vit dans la quiétude et la sérénité grâce à la monarchie qui est garante de notre marocanité et de notre sécurité depuis des siècles . Voilà ce que j’avais à dire à ceux qui, chaque semaine, publient, depuis des années, des écrits qui ne peuvent en aucun cas être assimilés à des articles ou considérés comme tels et dont le seul objectif est de porter atteinte à l’image du Maroc .
• Abdelaziz Ouardirhi
