Icône en France et en Espagne, Zidane a laissé malgré cinq ans à la Juventus une empreinte moins profonde en Italie, qu’il retrouve mardi avec le huitième retour de Ligue des champions à Naples (19h45 GMT), où son image est celle d’un grand joueur parmi d’autres et d’un entraîneur qui doit encore beaucoup prouver.
«ça n’est pas pour être irrespectueux, mais on a l’impression que son Real s’entraîne tout seul. Beaucoup de possession, comme pour un toro, une grande qualité technique, mais il n’y a pas d’identité de jeu. La première consigne, c’est débrouillez-vous».