Chassez la politique, elle revient au goulot. Bien sûr, moi aussi j’ai envie de parler de cette polémique qui tombe à pic – ceci expliquant peut-être cela – en pleine canicule. En fait, cette histoire de note salée qu’aurait laissée un de nos ministres sensé être un ange, me laisse perplexe. D’abord, personnellement, je pense que chacun est libre de faire ce qu’il veut, y compris de sabrer deux bouteilles de champagne millésimé si ça lui chante, à condition, bien entendu, que ce soit avec ses deniers et pas avec les nôtres. Ceci dit, si tout ça s’avère vrai, mais que c’était pour la bonne cause, c’est-à-dire pour le bien de nos exportations, sachons fermer les yeux car même Dieu est clément et miséricordieux.
A demain