C’est ce que révèle une étude publiée par l’observatoire Cetelem dont le rapport annuel est divulgué à l’approche du Mondial Auto de Paris et pour lequel des automobilistes de 14 pays ont été interrogés.
Chez l’automobiliste chinois l’automobile est un signe de statut social, à l’heure où 94% de Chinois déclarent que la voiture est un signe de modernité.
Ce qui contraste avec l’Europe où c’est l’aspect utilitaire des véhicules qui l’emporte. Autre signe du statut particulier de la voiture en Chine, quand il s’agit d’acquérir un véhicule, les Chinois «mettent en avant la puissance» comme deuxième critère après la sécurité.
Dans 12 des 13 autres pays étudiés, dont la France et les Etats-Unis, les données déterminantes pour les acheteurs sont le prix de la voiture et sa consommation en carburant.