Editorial

Chronique

© D.R

Les questions autour de la couverture médicale sont toujours un peu délicates entre son caractère important, voire obligatoire pour les populations concernées, et son poids financier souvent très lourd.

Partout dans le monde y compris dans les pays développés, c’est le même schéma qui se produit avec des pays où la notion de l’Etat providence se retrouve remise en question, notamment en France vu le poids des déficits de la sécurité sociale tandis que d’autres comme c’est le cas pour les USA, les soins sont donnés au plus solvable en quelque sorte.

Le Maroc a choisi d’assurer une assurance maladie pour tous ses citoyens. Sauf que cela nécessite un effort financier important. Mais comment ces organismes de prévoyance sociale comme la CNOPS peuvent-ils anticiper, voire réduire les déficits ?

Ailleurs, les responsables ont fait le choix de la sensibilisation, notamment aux maladies chroniques qui nécessitent, une fois arrivées, une prise en charge lourde et de longue durée. La sensibilisation doit cibler d’abord les populations montantes. Qui sait, peut-être, on fera d’une pierre deux coups. Moins de maladies chroniques et donc moins de déficit tout aussi chronique.

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