Facebook reconnaît que le droit à la vie privée et le contrôle de ses données personnelles représentent des enjeux majeurs. Mais la société de Mark Zuckerberg considère aussi que le «droit à l’oubli» va à l’encontre de ce que les gens souhaitent réellement. Pourtant, la Commission européenne est partisane pour inclure cette dimension dans la prochaine révision de la directive sur la protection des données personnelles. Dans la vision de Bruxelles, tout citoyen européen devrait être en mesure de supprimer à son gré les informations le concernant déposées sur les réseaux sociaux après une période d’exposition qui serait fixée par défaut.