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Soumaya Akaaboune embarque sur le navire de Gaël Morel

© D.R

Elle participe à plusieurs productions nationales et étrangères

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L’actrice, installée entre le Maroc et les Etats-Unis, a eu plein de participations en productions étrangères à l’instar de «Green Zone», «Playing for Keeps», «Lovelace» et «Les vraies housewives» entre autres.
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Après s’être affichée en ce Ramadan dans la série télévisée « Waâdi 2» entre autres, l’actrice, Soumaya Akaaboune aura des apparitions dans le film «Prendre le large» du réalisateur français Gaël Morel. L’annonce a été faite à ALM par l’artiste marocaine herself en se félicitant de son rôle et en précisant avoir partagé les plateaux de  tournage à Tanger, qui vient de prendre fin, avec Mouna Fettou et l’actrice française Sandrine Bonnaire. La sortie de cette œuvre cinématographique est, selon Soumaya Akaaboune, prévue en septembre en France et au Maroc. Outre «Prendre le large», l’artiste marocaine prend part au long-métrage «La catharsis de Afina» de Yassine Marco Maroccu qui sortira, à son tour, au Maroc et en Europe.  Et ce n’est pas tout ! L’actrice, installée entre le Maroc et les Etats-Unis, a eu plein de participations en productions étrangères à l’instar de «Green Zone», «Playing for Keeps», «Lovelace» et «Les vraies housewives» entre autres.

Au Maroc, elle s’affiche en ce Ramadan dans une panoplie de productions, notamment «Waâdi 2» après avoir participé à la 1ère saison. «Ce qui m’a décidé à revenir au rôle de «Fettouma» dans la 2ème saison de Waâdi c’est que c’est un personnage tellement merveilleux qu’il est difficile de le quitter. Je l’ai également fait  pour ma carrière au Maroc. C’est important pour avoir de la visibilité et pour que les téléspectateurs  me connaissent davantage à travers « Waâdi »», indique Soumaya Akaaboune à propos de son retour à la 2ème saison de cette série réalisée par Yassine Fennane ayant également fait appel à cette actrice pour la série «Hyati».

Aussi, l’artiste marocaine a pris part à «Toiles d’araignée» d’Abdelhay Laraki en ce mois sacré après avoir décroché, le Ramadan dernier, un rôle dans «Maktouâ men chejra» du même réalisateur. Comme elle a participé cette année à la série «Lghoul» réalisée par Said Naciri et Jean-Luc Herbulot. «Je suis assez satisfaite de ces collaborations», enchaîne Soumaya Akaaboune ayant profité de son séjour au Maroc pour tenter de dénicher des contrats. «Pour l’instant, je suis en pourparlers. Je n’ai pas encore signé», précise-t-elle en s’exprimant sur l’envie de se frayer un parcours dans son pays. «Une carrière au Maroc a toujours été un rêve», abonde l’artiste native de Tanger qui, outre ses castings, écrit des scénarios en collaboration avec son conjoint, le réalisateur américain Peter Rodger.

A propos de son retour au Maroc après un âge légèrement avancé, l’actrice déclare : «Je suis partie parce que je voulais apprendre certaines choses que je ne trouvais pas au Maroc. A mon époque, il y avait très peu de choix en écoles de danse, cinéma, théâtre et musique surtout du  genre que je recherchais. Pour l’heure, l’envie de retourner me prend davantage puisque ma mère devient âgée. J’ai envie d’être à ses côtés. D’autant plus que je veux que mon petit garçon, qui a onze ans, connaisse sa culture».

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