Culture

Elle présentera son ouvrage ce 7 mai à Casablanca : Noor Ikken sort son premier roman «Le Premier Été»

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«Le Premier Été», tel est l’intitulé du premier roman de Noor Ikken paru aux Maha Éditions. Son œuvre est un voyage à travers les conventions socio-culturelles des années 1980, une exploration des drames et des trames cachées sous une éclatante joie de vivre de surface.


La Maison Maha Éditions annonce la sortie du premier roman de Noor Ikken « Le Premier Été ». Il s’agit d’un récit captivant qui dévoile une voix unique dans le paysage littéraire contemporain marocain. L’autrice rencontrera ses lecteurs et dédicacera son ouvrage au Carrefour des Livres, ce mardi 7 mai 2024. Selon l’éditeur, « Le Premier Été » n’est pas seulement une histoire d’insouciance et de premiers amours, c’est un voyage à travers les conventions socio-culturelles des années 1980, une exploration des drames et des trames cachées sous une éclatante joie de vivre de surface. Tanina, le cœur palpitant de ce roman, incarne la quintessence de l’adolescence en ébullition, protégée par la certitude propre à cet âge. Elle est l’image d’un demain en devenir, d’un monde à la croisée des chemins qui, sous les yeux du lecteur, s’éveille et prend le parti de l’audace.

Et de noter que «l’ouvrage dépeint aussi un portrait de famille et d’amitié saisissant, tout en laissant entrevoir les vérités cachées et les compromis derrière les sourires et les larmes. Cette mosaïque de sentiments humains, capturée avec une verve espiègle mais incisive, met en lumière les profondeurs et les dynamiques de la société marocaine des années 1980, alors en pleine transformation ». Avec un œil affûté pour les détails et une plume fraîche et captivante, résolument novatrice, Noor Ikken signe une œuvre remarquable qui résonne avec authenticité, invitant à redécouvrir les émotions les plus sincères et les plus universelles, à replonger dans la magie et la complexité de l’adolescence, des années si déterminantes, surtout lorsqu’elles sont marquées par un premier amour.

A propos du roman
«Le Premier Été » tisse une toile de renaissance et d’audace. Noor Ikken entrelace, avec une verve espiègle, mais incisive, les fils d’une jeunesse dorée baignée par la lumière éclatante de l’insouciance, tout en sondant les profondeurs d’une époque, les années 1980, et d’une société en plein bouleversement. L’autrice ravive l’éblouissement d’un premier amour, protégé par la certitude d’adolescents qui dansent au rythme d’une joie de vivre contagieuse. Elle dresse un portrait de famille vibrant où chaque émotion, chaque éclat de rire résonne de sincérité, mais laisse pourtant entrevoir d’autres vérités et toucher l’intime d’une mosaïque de sentiments humains. L’œuvre signe l’acte de naissance d’une plume résolument innovante et fraîche. « Elle descend la cour en pente du lycée, elle passera devant les toilettes, la buvette, l’herbe où se reposent les terminales pendant la récréation et se dirigera vers la cour des fumeurs. Elle, c’est Tanina, un monde en ébullition, en pleine éclosion. Elle, c’est demain et les jours à venir. C’est l’adolescence, les promesses à foison, les multiples chemins à découvrir. C’est un monde qui prendra la forme qu’elle voudra bien lui donner», lit-on dans l’extrait du roman.

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