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Fadel Chakir est de retour

Après deux ans de disparition, l’artiste de sensation revient avec un nouvel opus plein de sensation intitulé «Eftaraqna» (on s’est séparés) composé par Mounir Abouassaf et distribué par Bilal Zin. C’est une chanson pleine d’émotion d’amitié et de souvenirs d’enfance. L’artiste de la romance a fait plusieurs chansons aux côtés de la chanson «Eftaraqna». Le célèbre chanteur libanais a participé à de nombreux festivals en Égypte, Liban, Koweït, Emirats, Palestine et au festival Mawazine au Maroc. Durant toute sa carrière musicale, Fadel a remporté plusieurs prix arabes grâce à ses célèbres chansons. Il est devenu l’un des plus grands chanteurs arabes de la romance. Fadel aime pratiquer la pêche, aime également jouer au piano et pratiquer tous les sports nautiques. Quant à sa vie privée, le grand chanteur  est marié à une femme palestinienne appelée Nadia et ils ont trois enfants.

Salim enregistre son premier album  «Mille et un rythmes rai» en 2002. Il y interprète des reprises traditionnelles réadaptées et distribué par Aladin le musicien. L’album connaîtra un veritable succès et sera diffusé sur les ondes de Beur FM, Radio Soleil, Radio France Maghreb, RDC, et Radio Enghein, et les émissions télévisées de BEUR TV, Canal Algérie, France 3 region, Arte, Algérie 3. S’en suivent plusieurs participations à des compilations, le deuxième volume des «Mille et un rythmes rai» et la compilation best of rai. Un sourire angélique et charmeur, une voix puissante et chaude alliée à une forte présence sur scène, Salim, originaire de la capitale du rai, est un artiste qui incarne une nouvelle génération d’artistes pleine de fraîcheur et parle d’amour sans tabous, un cœur entre deux rives de la Méditerranée.

Révélés dans les années 90, les quatre rappeurs récidivent avec «Ni Vu Ni Connu», à contresens de la mode rap bling-bling. «Jamais dans la tendance mais toujours dans la bonne direction» : telle est la philosophie de la Scred Connexion. En prenant volontairement le contrepied de la mode, le collectif de rappeurs originaires du 18ème arrondissement de Paris crie haut et fort son envie de casser les codes d’un rap trop bling-bling installé depuis quelques années dans le paysage musical hexagonal. Après «Scred Selexion 99/2000», «Scred Selexion 2», «Du mal à se confier», «Scred Selexion 3 – Special Mokless» et, plus récemment, «Indomptés», Haroun, Koma, Mokless et Morad se font de nouveau plaisir sur «Ni Vu Ni Connu».

Avec son dernier disque en date, Morrissey avait convaincu en masse les Anglais. «Years of Refusal» devrait être accueilli aussi chaleureusement. Demandez à tout artiste ce qu’il pense de son dernier album, il vous répondra forcément qu’il s’agit de sa meilleure oeuvre. Talentueux mais vraisemblablement peu humble, Morrissey explique tout simplement que «Years of Refusal» est son «travail le plus profond à ce jour». Il s’agit en tout cas de son neuvième opus, le successeur de «Ringleader of the Tormentors» paru un 2006. Ce dernier disque en date lui avait d’ailleurs permis de se classer en première position des charts anglais, ce qui semble être un minimum pour l’ex-chanteur du groupe The Smiths. Enregistrés durant l’automne 2007 aux Conway Studios de Los Angeles, ces 12 titres mettent à l’honneur une vitalité renouvelée chez Morrissey. «Something Is Squeezing My Skull» (Quelque chose me presse le crâne, en français) ne fait pas mentir cette affirmation, avec son rythme effréné. Un peu plus loin, c’est «Black Cloud» qui fait durer le plaisir sur fond de rock expressif, tandis que «I’m Throwing My Arms Around Paris» met à l’honneur un côté plus mélodique, tout en rendant hommage à la capitale française. De sa voix toujours aussi puissante, Morrissey libère ici tout son talent artistique.

Sonic Youth a annoncé la sortie de son prochain opus. Pophétisé «The Eternal», le dix-huitième album des New-Yorkais recèle douze titres et débarquera le 9 juin sur les échoppes. Le groupe post-punk qui en influença plus d’un (parmi lesquels un certain Kurt Cobain), s’est engagé dans cette aventure avec le label Matador. Il se sépare ainsi de Geffen, avec qui il avait collaboré sur ses neuf derniers albums. Sonic Youth partagera également un split (un projet en commun) avec Beck, celui-ci sortira sous forme de vinyle le 18 avril en édition limitée. Kim Gordon et les siens y reprennent «Pay No Mind» de Beck, alors que ce dernier interprète «Green Light» de Sonic Youth.

La génération Internet envahit les bacs! Avec «Perdu d’avance», Orelsan boucle un projet décalé au beau milieu d’un paysage rap devenu ennuyeux. Orelsan a choisi de profiter d’Internet pour tenter sa chance… et ça marche ! En quelques jours, grâce au lancement d’un concours de vidéos, à la mise en ligne de ses clips et à sa franchise sympathique, il a attiré l’attention sur lui. Non sans une bonne dose de pensées décalées, il explique sur son blog : «Pourtant beaucoup d’obstacles viennent s’opposer à ma réussite dans le Rapgame : Je viens de Caen, Calvados, Normandie. Ma musique ne correspond pas aux tendances actuelles. Mes chansons risquent fortement d’êtres censurées (…). Vous pouvez donc suivre ici, en temps réel, mon parcours «perdu d’avance», jusqu’au succès ou jusqu’à l’ultime échec». Alors, gloire méritée ou loose assumée ? Un peu des deux ! En une leçon de 14 titres, le jeune rappeur lève le masque sur sa musique à la croisée d’un Eminem français, d’un Disiz La Peste teubé et d’un Kamini sous acide.